vendredi 18 mars 2011

Marine Le Pen, mère Térésa du FN


Marine Le Pen a un cœur gros comme ça. Elle est allée courageusement passer quelques heures à Lampedusa faire face à l’invasion de cette île italienne au large de la Tunisie qui subit depuis des années de façon ininterrompue des débarquements de clandestins venus d’Afrique. Les récents événements en Tunisie n’ont fait qu’amplifier ce tsunami.

Loin d’apparaître comme la nouvelle Isabelle la Catholique, qui bouta l’islam hors d’Espagne, elle a tenu à faire montre de compassion. «L’Europe n’a pas la capacité de vous accueillir[…] J’ai beaucoup de compassion pour vous[…], mais nous n’avons plus les moyens financiers» a-t-elle tristement déclaré à deux représentants de “migrants” qu’elle a tenu à recevoir. Est-ce à dire que si la France et l’Europe disposaient de ces moyens, elle serait prête à les accueillir?

Marine Le Pen verse, elle aussi, dans cet effroyable brouet compassionnel et émotionnel que dénonce si bien Zemmour… Elle déclare en effet, la larme à l’œil, «si je n’écoutais que mon cœur, je me jetterais à l’eau pour aller les sauver».
La mère Térésa du FN, qui se flattait, quand elle était avocate, de défendre des clandestins, qui, dans son programme, souhaite accueillir 10000 immigrés légaux par an et qui considère, comme son père, que les allogènes sont des branches de l’arbre France ferait mieux, plutôt que de se jeter à l’eau, de se jeter dans la bataille pour la libération de la France et de l’Europe, et la nécessaire Reconquista.
Mais, comme le déclare excellemment sur son blog notre ami Yves Darchicourt, «La prétendue lutte contre l’immigration de la Le Pen’Family n’est donc qu’une parenthèse… en attendant des jours meilleurs où les feuilles de palmes pourront venir allégrement se greffer sur l’arbre France»
Source : RIVAROL

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