mardi 27 mars 2018

POËME ET MEMOIRE


Jadis j’ai dû m’enfuir de mon pays

Quand la France décida de lâcher l’Algérie

Et si avec le temps les plaies se sont fermées 

Leurs cicatrices, elles, ne peuvent s’effacer
Aussi pour mes enfants, je demande au Messie 

Que jamais ils ne vivent une pareille tragédie. 

Pourtant, lorsque je vois ces hordes de Magrébins

Envahir notre sol par n’importe quel moyen 
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Pour venir y chercher toute cette assistance 

Qui n’existe plus chez eux depuis l’indépendance, 

Quand je vois qu’ils acquièrent cette nationalité 

Qu’ils ont pourtant reniée il y a quelques années 

Je me pose une question qui me met mal à l’aise, 

Combien de temps encore la France sera Française ?

Ils occupent tour à tour l’ensemble des quartiers 

Où la police alors n’a plus le droit d’entrer, 

Bien vite ils les transforment en ces fameux ghettos

Où ils pillent les commerces et brulent les autos. 

Marseille est devenu une base d’Al-Quaïda 

Et notre canebière le souk d’une casbah. 

La banlieue parisienne n’est pas plus épargnée 

Partout règne le racket et l’insécurité. 

Les seuls européens qui s’obstinent à rester 

Doivent se barricader sitôt la nuit tombée. 

Des cités toutes entières leurs sont abandonnées 

Dans l’attente qu’ils obtiennent les clefs de l’Élysée. 

Lorsque notre président, en quête de bulletins

Va leur rendre visite, la veille des scrutins 

Ils bousculent sa voiture et crachent sur son costume 

Et l’obligent à partir plus vite que de coutume.

Ils sifflent la Marseillaise au match de l’amitié 

Et brandissent les drapeaux du pays invité. 

Puisqu’ils peuvent posséder deux nationalités 

Ils en changent à leur guise, suivant leurs intérêts

Pour les allocations, ce sont de vrais français, 

Pour les obligations ils restent des étrangers. 

Ils respectent qu’une seule loi celle des islamistes 

Et suivent assidument la mode des intégristes, 

Elles se coiffent du foulard, ils portent la barbouze 

Et pavoisent leur logis aux couleurs des fellouzes 

Depuis quelques années ils sembleraient vouloir 

Que la France se décide à réécrire l’histoire. 

On enseigne pour se faire à notre descendance 

Que les pieds-noirs étaient des colons de la France 

Qu’ils n’avaient pas de cœur et usaient d’un gourdin

Pour payer les salaires de chaque Magrébin. 

Aujourd’hui les médias demandent à nos élus 

Qu’une enquête soit faite sur ces moments vécus 

Pour voir si notre armée a commis des bavures 

Et condamner ceux qui pratiquaient la torture 

Pour que ces terroristes veuillent leur divulguer

La liste des attentats qu’ils devaient perpétrer. 

Vouloir faire des victimes de nos ex-assassins 

C’est en sorte approuver les crimes et les larcins 

Qu’ils ont commis jadis sur ces gens innocents

Qui voulaient conserver la terre de leurs parents. 

Somme-nous tous amnésiques pour avoir oublié 

Combien les F.L.N. ont fait d’atrocités ? 

Serions-nous insensibles à tous ces attentats ? 

Qui ont été commis par ces vils fellaghas 

Et devons-nous ce jour, pour des raisons d’état 

Pardonner les tueries de leur chef Ben Bella ! 

La bombe de la Corniche, ou celle du Milk Bar 

Et ces assassinats empreints d’actes barbares 

Ces femmes étripées aux ventres empierrés 

Tout près de leur fœtus qui était empalé. 

Ces milliers de Harkis qui furent assassinés

Sur la place publique sans le moindre procès 

Trahis et délaissés par le chef de la France. 

Ils ont subi la mort dans d’atroces souffrances. 

Ils furent même désarmés avant l’indépendance 

Afin qu’ils n’opposent pas la moindre résistance 

Aux couteaux des tueurs qui étaient impatients 

De pouvoir leur donner le suprême châtiment. 

Aurions-nous oublié la date du 5 Juillet 1962 

Et les massacres commis après le cessez le feu ?

Ces centaines d’Oranais qui furent exécutés 

Devant l’armée française restée les bras croisés ! 

En France, dans nos écoles, aucun livre d’histoire 

Relate ces évènements vécus par les pieds noirs 

On transforme le passé à la gloire des vainqueurs 

Qui deviennent des martyrs à la place des tueurs 

Oublier notre passé ou même le transformer 

Serait une grave erreur qu’on pourrait regretter 

Ne baissons pas la garde, redoublons de méfiance 

Si nous ne voulons pas connaitre un jour en France 

Une prochaine débâcle vers d’autres horizons 

Ou vouloir accepter de changer de religion. 

Ben Bella l’avait dit, après la prise d’Alger 

« Nous devons remonter en France jusqu’à Poitiers ».

Hélas cette latitude est maintenant dépassée 

Puisqu’aucun coin d’Europe ne se trouve épargné ! 

A moins d’un revirement rapide et énergique 

La France deviendra vite république islamique 

Par le nombre des naissances ils auront l’avantage

Qui leur fera gagner l’ensemble des suffrages

Ainsi sera mis fin à notre démocraties 

Et la France à son tour deviendra colonie. 

Alors sera troqué l’angélus des clochers 

Par l’appel des imams en haut des minarets 

Dès lors, pour survivre, de même que nos aïeuls, 

Nous aurons à choisir = la valise ou l’cercueil 

Les exemples sont nombreux et faciles à citer 

Sur toute la planète, nombreux sont les foyers 

Où des familles entières furent exterminées 

Pour le simple prétexte qu’elles avaient refusé 

D’accepter les contraintes de ces jeunes républiques 

Qui instaurent par la force la charia islamique.

Aussi la prochaine fois, lorsque vous serez appelés 

Pour vous rendre aux urnes afin d’aller voter 

Devenez l’électeur d’un second Charles Martel 

Qui renverra chez eux, au fond de leur djébel 

Ceux qui viennent chez nous pour y défier la France 

En réclamant sans cesse encore plus d’assistance 

Afin que vos enfants ne subissent jamais 

La débâcle vécue par les pieds noirs Français 

Le livre a peut-être été refermé, mais son histoire 

Est restée gravée dans ma mémoire.


Un Français déraciné    

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