jeudi 15 octobre 2020

 Oui à l’IVG, non aux 14 semaines et plus, non à la vente d’organes du foetus…

Entendons-nous bien. Par principe je suis favorable à la possibilité d’une IVG pour ceux qui, enceintes par accident, ne veulent pas d’enfant… mais il y a des limites. Je n’aurais jamais pu, quant à moi, avorter, en pensant qu’il y a là un petit être en devenir, mais je soutiens le principe de l’IVG pour celles qui le veulent, le doivent…  A condition qu’il y ait certaines limites.

La première limite c’est que celle qui prend les IVG comme moyen de contraception devrait avoir les trompes ligaturées après la 3ème IGV.

La deuxième limite c‘est que nous ne sommes plus à l’époque des aiguilles à tricoter où les méthodes de contraception étaient inexistantes ou du moins rudimentaires et propres à accidents :  les petits cailloux dans l’utérus, le coït interrompu,  l’ancêtre de la capote tricoté amoureusement ou la méthode OGINO…  Nous ne sommes plus, non plus, à une époque puritaines où cela ne se faisait pas d’avoir un enfant hors mariage ou avant mariage et qu’on pouvait payer très cher ce qui était vu comme une faute impardonnable. Or, cette époque est révolue, tout le monde a accès à la pilule, au stérilet (une fois qu’on a eu un enfant), au préservatif…Il y a donc peu de cas où raisons d’avorter tiennent la route. 

Alors, que l’IGV soit nécessaire pour celles qui n’avaient pas prévu de rencontre ni de nuit amoureuse et se sont retrouvées enceintes, sans contraception, à l’issue d’une rencontre d’un soir, oui. Si ça arrive une fois… après on se méfie et on prévoit !

Que l’IGV soit automatique pour la victime de viol, oui encore, 100 fois oui.

Que l’IGV soit accepté pour celles qui, pour des raisons médicales, ne peuvent prendre ni pilule ni stérilet et ont été incapables de contraindre leur partenaire à mettre une capote. Oui encore une fois…

Quoi d’autre ? J’oublie sans doute, forcément, des tas de cas particuliers, d’histoires douloureuses, notamment les histoires de femmes en mal d’enfant contraintes par leur compagnon ou mari d’avorter…

Mais il me semble bien que toutes ces particularités ne devraient pas, en toute logique, faire 200 000 avortements par an. C’est beaucoup, c’est trop.

Loin de moi l’idée de faire un rapprochement que je trouve particulièrement malhonnête et puant entre le chiffre des avortements et celui de l’immigration comme le font certains avec complaisance. C’est ignoble. Comme si les femmes qui avortent étaient responsables de l’immigration, alors que seuls les politiques gèrent cette dernière. Si des femmes ne veulent pas d’enfants c’est leur droit, et si les mondialistes arguent du manque de naissances dans nos pays pour y faire venir des migrants, tout le monde sait bien que ce n’est qu’un prétexte puisque, dans le même temps, on n’a plus d’industrie, on délocalise à tour de bras, on a des millions de chômeurs et, cerise sur le gâteau, on fait venir des gens sans les trier, sans les sélectionner  selon nos besoins… Il s’agit clairement d’une immigration de Remplacement, correspondant mieux aux visées mondialistes que les naissances des nôtres.  D’ailleurs les politiques ont depuis longtemps renoncé, ce n’est pas un hasard, à mener une politique familiale qui encouragerait les nôtres à faire plus d’enfants, comme le fait Orban avec des avantages financiers, en terme de logements, voitures etc. indéniables. Mais les politiques ne le veulent pas ; au contraire ils ont peu à peu supprimé tous les avantages qu’avaient les familles à partir de 3 enfants (allocations soumises au revenu, mère ne pouvant plus partir en retraite après 15 ans de bons et loyaux services…) et ils se gardent bien de créer des crèches en nombre suffisant.  Alors merci de nous épargner ces rapprochements honteux et mensongers. Quant à ceux qui veulent plus de natalité chez nous rien ni personne ne les empêche de faire 6 ou 8 enfants de leur côté… Les donneurs de leçons…

Par contre, que des femmes utilisent l’IVG, qui reste un acte lourd psychologiquement, pour ne parler que de ça, comme contraception est inacceptable. Un Etat digne de ce nom ne peut pas accepter que nos concitoyens soient déresponsabilisés de la sorte ! Parce qu’il s’agit de déresponsabiliser chacun… on renonce à faire naître un enfant qui n’a rien demandé à personne et on dit, comme Hollande, c’est gratuit, c’est l’Etat qui paie. Un peu trop facile, un peu trop simple…

Mais abordons la troisième limite que je vois à l’IVG. C’est celle des l’hubris, de la démesure, de l’inhumanité, du retour à la barbarie de la préhistoire… Plus jamais ressuscités, plus que jamais d’actualité… 

Première démesure : permettre l’avortement jusqu’à la naissance, avec des motifs de circonstance, c’est un permis de tuer, tout simplement. Indigne d’un être humain, indigne d’un Etat, mais bien digne des salopards de députés qui n’ont plus rien d’humain qui ont voté pour. Et le passage souhaité de certains députés (des écolos-fachos pour la plupart) de 12 à 14 semaines est également injustifiable…


https://resistancerepublicaine.com/2020/08/03/deputes-et-macron-assassins-les-femmes-peuvent-avorter-jusqua-9-mois/


Deuxième démesure : que le planning familial, aux Etats-Unis, démembre et vende des morceaux de foetus, ça rend fou. Fou de douleur. Fou de colère. Ils font aux petits d’homme ce qu’ils ne feraient pas aux petits d’animaux. Comment en est-on arrivés là ? Comment toute une partie de la société, des gauchistes en majorité en est-elle arrivée à haïr l’être humain -occidental- à ce point ? Et Biden fait partie de ces gens-là, mais ce serait Trump qui serait d’extrême-droite…

IVG : le planning familial américain reconnaît vendre des organes de fœtus

Une de ses responsables, piégée en caméra cachée, s’est vantée de pouvoir fournir à la demande des organes de fœtus issus d’avortements tardifs.

C’est l’une des révélations d’une vidéo dévoilée sur YouTube le 14 juillet, la première d’une série, et qui est en train de susciter l’émotion, aux États-Unis et dans le monde entier. Au bout de trois ans d’enquête, le Center for Medical Progress dévoile les pratiques réelles de la Planned Parenthood Federation (PP), équivalent américain du planning familial.


Des méthodes illégales et amorales


Cette vidéo, filmée en caméra cachée lors d’un repas d’affaires, est hélas éloquente : on y voit Deborah Nucatola, directrice des services médicaux, détailler la revente de « pièces » d’embryons humains, non pas incinérés tels des « déchets médicaux », mais bel et bien revendus comme des organes humains. Un trafic d’organes de fœtus issus d’avortements tardifs, ni plus ni moins. Dans cette vidéo, le Dr Deborah Nucatola décrit en détail comment le Planned Parenthood vend des parties du corps de fœtus avortés et reconnaît avoir recours à l’avortement par naissance partielle, pour mieux récupérer des organes et des corps intacts, et ainsi être en mesure de répondre à la demande. Sa description de ses actes médicaux glace le sang : « Nous sommes très bons pour récupérer le cœur, les poumons, les reins intacts », explique-t-elle. La pro:cédure décrite, de guidage par ultra-son pour manipuler le fœtus, est par ailleurs considérée comme illégale aux États-Unis.


Source : Ch Tassin

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