C’est un
motif d’agression auquel les policiers de Reims n’avaient encore été jamais
confrontés.
Mercredi après-midi, une
Rémoise de 21 ans accompagnée de deux amies se prélasse en maillot de bain au
parc Léo-Lagrange.
Cinq jeunes filles originaires de différents quartiers de la ville passent à proximité.
L’une d’elles se détache du groupe.
Voir cette femme qui bronze au soleil, allongée dans l’herbe, semble contraire à sa morale et sa conception des bonnes mœurs car elle vient lui reprocher sa tenue légère jugée indécente en pareil endroit.
Cinq jeunes filles originaires de différents quartiers de la ville passent à proximité.
L’une d’elles se détache du groupe.
Voir cette femme qui bronze au soleil, allongée dans l’herbe, semble contraire à sa morale et sa conception des bonnes mœurs car elle vient lui reprocher sa tenue légère jugée indécente en pareil endroit.
Effarée
par un tel discours aux relents de police religieuse, la jeune femme se rebiffe
en rétorquant qu’on n’a pas à lui dicter sa façon de se vêtir.
Une altercation éclate. Tout le groupe se précipite alors sur elle pour la rouer de coups. Des témoins portent secours à la victime et alertent les pompiers qui doivent l’évacuer au CHU.
Bilan du passage à tabac : quatre jours d’incapacité totale de travail. (…)
Une altercation éclate. Tout le groupe se précipite alors sur elle pour la rouer de coups. Des témoins portent secours à la victime et alertent les pompiers qui doivent l’évacuer au CHU.
Bilan du passage à tabac : quatre jours d’incapacité totale de travail. (…)
Source :L’Union
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