Regrettant la « judiciarisation de la pensée » qui remplace la « saine confrontation des idées » par le « choc procédurier et juridique », les intervenants ont pointé du doigt le rôle néfaste des « associations » grassement subventionnées, ne représentant généralement qu’elles-mêmes et agissant en justice à torts et à travers, instituant peu à peu la société de la guerre de « tous contre tous », ainsi que celui, plus délétère encore, des « lois mémorielles » au premier rang desquelles on trouve les lois Pleven et Gayssot.
L’heure n’était pas pour autant à la résignation et au défaitisme, Rober Ménard rappelant que « nous n’étions pas encore à Cuba out en Chine » et notant que la parole s’était légèrement « libérée » ces dernières années notamment au travers de « phénomènes médiatiques » tel que celui d’Eric Zemmour.
Après une séance de questions et de débats avec le public, les intervenants se séparaient en promettant de continuer le combat notamment via la création d’un « Observatoire des libertés » et des propositions législatives visant à l’abolition des lois liberticides.
Seule petite ombre au tableau de la soirée, la présence d’un groupe de prétendus « antifascistes » venus démontrer leur haine de la liberté d’expression en tentant de semer le désordre dans le quartier à l’issue du colloque. Rapidement et piteusement chassés par une poignée de militants identitaires du Projet Apache venus assister aux débats, ils se « vengeront » un peu plus tard, avec le grand courage qui caractérise leurs méthodes, en agressant à cinq, dans le dos, deux militants isolés rentrant tranquillement chez eux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire