Selon la justice, le racisme anti-blanc ne recouvre
aucune réalité
En France, depuis
1983, l’antiracisme a pris le pas sur les autres religions.
.
« Ils ont eu raison à
Daesch de niquer la France et d’exploser des bombes, les Français vous avez
bien ramassé, ils vont tous vous niquer ! »
L’auteur de ce délicat
propos a écopé de 6 mois de prison ferme à Montpellier.
Pour apologie d’actes
terroristes.
Sans aucun doute cette condamnation doit beaucoup à l’émotion
suscitée par les massacres du 13 novembre.
Mais elle révèle quand même que des
juges savent encore sanctionner des propos outrageants pour notre pays.
À Paris, à quelque semaines de distance, la chambre
correctionnelle de la Cour d’Appel a confirmé la relaxe prononcée par le
Tribunal correctionnel à l’encontre de Saïd Bouamama et Saïdou pour avoir
publié un ouvrage et un morceau de rap intitulés « Nique la France », illustrés par 95 photographies
d’individus tendant leur majeur bien haut.
Ce geste obscène du connard,
autrefois réservé aux chauffards irascibles, est désormais l’emblème de tout ce
que la France compte de racailles.
Il n’a rien d’innocent ; rien de « doux »
comme l’affirmaient les prévenus ; rien de banal associé à un titre aussi
provocateur.
C’est sans doute la raison pour laquelle le parquet avait requis
le renvoi de ces poètes devant le tribunal pour « injures publiques envers une personne ou un groupe de personnes
en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une race ou une
religion ».
Pourquoi cette relaxe ?
Le tribunal, l’avait déjà
justifiée parce que la notion de racisme anti-blanc « ne recouvre aucune réalité légale, historique, biologique ou
sociologique », que « la
”blancheur” ou la ”race blanche” » n’est « en aucune manière une composante juridique de la qualité des
Français » et que « les
Français blancs dits de souche ne constituent pas un ”groupe de
personnes” » au sens de la loi de 1881 sur la liberté de la presse.
La Cour d’appel a repris cette motivation. Elle est profondément révélatrice.
En France, depuis 1983, l’antiracisme a pris le pas sur les
autres religions.
Sur un christianisme marginalisé, bien que tenace ; sur
un communisme à la barbarie dévoilée ; sur un patriotisme ridiculisé.
L’antiracisme, communisme du XXIe siècle ?
Toujours est-il qu’il est
devenu une religion : avec un dogme issu d’une vérité révélée, des rites,
un clergé. Une religion qui, comme toujours, et comme l’islam dans nos
banlieues, arrivait à point nommé pour combler un vide.
Toute une génération en
a été imprégnée en profondeur. A grand coup de terrorisme intellectuel, de
condamnations et d’anathèmes, mais sans l’Inquisition qui, au moins, inventa
les droits de la défense. L’antiracisme est une des « valeurs » de
qui vous savez…
Ainsi, toute accusation de racisme suffit à discréditer
l’adversaire, par la sidération.
On ne répond pas plus à cette accusation
infâmante qu’à celle de fascisme. Il n’existe pas de racisme modéré, pas plus
que de fascisme raisonnable ou de nazisme dénaturé.
Ces adjectifs sont réservés
à l’islamisme et au communisme. Dès lors qu’une arme aussi puissante est entre
les mains des censeurs, le risque est de la laisser retourner contre eux.
Imaginons un peu qu’Harlem Désir, ancien Pontifex
Maximus de la secte soit à son tour accusé de… racisme !
Ainsi donc
une protection particulière a été conférée aux zélateurs de la religion
nouvelle : il n’existe de racisme qu’envers les populations de couleur et
les croyants en un autre dieu que celui des chrétiens. Parce que la race
s’étend désormais à la religion.
L’Alliance Générale contre le Racisme et pour le Respect de
l’Identité Française pouvait bien sauver l’honneur en poursuivant ces sinistres
individus.
Le gouvernement et la bobocratie peuvent toujours inviter les
Français à ressortir leurs drapeaux tricolores.
Il n’existe pas de racisme
anti-blanc en république française, ni d’injure publique par les propos « Nique la France ».
Qu’on
se le dise et que ces imbéciles continuent à se torcher dans notre drapeau.
Jusqu’au jour où les Français accompliront ce que les juges
leur refusent…
Source :
Bld Voltaire
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